lundi 30 novembre 2009
dimanche 29 novembre 2009
vendredi 27 novembre 2009
jeudi 26 novembre 2009
5e B-awards:la dépeche de la MAP
lundi 23 novembre 2009
بوزغيبة ككائن بيولوجي وكإيقونة فنية
بحت الكاتب المغربي المعروف محمد البحتوري في موضوع بوزغيبة وتعمق في خصائص هذه النبتة ووظائفها البيولوجية كما ركز على رمزية الاستبطان والتوطين لبوزغيبة الإيقونة . فهو بصدد إنهاء فصول مؤلف فني يضم مقاربة جديرة بالاهتمام . فتحت عنوان : إطلالة على عالم عبدالرزاق رزاق، يقول البحتوري في إحدى فقراته :
" فرحي مرده لكون هذا المتمرد في زيغه الفني خارج السكك المسكوكة ، استطاع أن يتمكن من توطين وتجذير تجربته الفنية ، بعدما اكتشف أن السبيل الوحيد إلى ذلك هو ضرورة ربطها بنبتة طبيعية مغربية قحة لها جذور عميقة في التربة المغربية عبر تاريخها. فبقدر مالها من مظاهر جمالية فاتنة ، لمعان اخضرار أوراقها ، وسحر روعة ازدواجية أزهارها ، بيضاء في نوع، زرقاء في نوع أخر ، زرقة شفافة وحالمة، بقدر ما لها من مكائد اداية وأشرار في الخفاء. فإذن تبطن أفعال الاداية وتظهر أفعال المتعة البصرية. وهذه مجرد مظاهر خداع لهذا العالم المحيط بها ،تظهر عكس ما تبطن ، لذا اكتشفها عبد الرزاق الفنان متأهلة برشد ولياقة وجودية فائقة ، لأن تكون المرايا العاكسة لتعدد وجوه وأقنعة المسلكيات التي تسطو وتهيمن على طقوس عبور حياة أرضنا في جريانه المتلخبط والمدوم .تم استنبطها بذكاء عبقري بعدما اقتنصها عبر استقراء للطبيعة والواقع .بمثل هذه التجربة يتأتى لفننا أن يمسك بخصائص هويتنا في تأسيسه وتكونه من داخله وتطوره من نباتاته ومنابع مشاربه كما حصل في تأسيس الفن الأوروبي الحديث حين أكد الفنان ارتباطه بطبيعة أرضه. ولا داعي هنا لأكرر ما قلته مرارا عن الدور الذي لعبته في هذا الشأن لوحة مانيه "غداء فوق العشب" وهذا ما أوحي لي بنسق هذه المقاربة. فبتوظيف أمثال هذا الرمز المغربي المتوغل في عمق طبيعتنا وحياة ومعيشة السواد الأعظم من أناسنا إلى حد غدت كثير من أنماط مظاهر هذه الحياة خاضعة لما يخفي ويبطن وما يظهر. يستطيع الإبداع المغربي أن يمسك بضالته ويمتلك ناصية تبلور وتجليات مرامي وظائفه، والخيل الخير في نواصيها
dimanche 22 novembre 2009
Lettre ouverte à Mr. Faiçal Laâraichi PDG du holding-TV de service public
Lettre ouverte à Mr. Fayçal Laraïchi PDG
du holding-TV de service public
Depuis le lancement du prix international de l’humour en 2005 , dont je suis l’instigateur et à l’instar des autres animateurs culturels qui, bénévolement suent pour réussir, contre vents et marées, leurs initiatives en ne comptant que sur leurs propres ressources, je me suis adressé aux différentes entités (radio, Al Oula, 2M ,…) composant le holding de service public que vous dirigez en vue d’une couverture médiatique, à la mesure du possible et à la dimension de cet événement culturel. Malheureusement, aucune suite favorable n’a été réservée à mes demandes. Même la parution de mon dernier livre est passée « audio-visuellement » inaperçue et cela contrairement à la presse écrite qui a fait son devoir, sachant que juste après la parution du tome-1 de la monographie relative aux Bouzghiba-Awards, j’ai dû déposer au bureau d’ordre de votre institution un ensemble de dossiers comportant , en plus de l’exemplaire du livre, mon book-press et une demande dûment formulée pour donner acte à mon humble aventure. Mon blog qui en fait référence et qui a été classé récemment 2e au Top-Ten par une société américaine spécialisée en « management of web-ranking » a souffert de la même rigidité administrative même si, indirectement, le pays s’en trouvait honoré, puisque, on le veuille ou non, il porte la bannière marocaine. Je ne veux pas citer les noms des responsables, car le but de cette requête n’est pas de dénoncer quiconque mais plutôt d’interpeller un mode de gestion qui privilégie certaines choses et en néglige d’autres. Je vous signale qu’à l’époque que l’on disait difficile, on avait accès à la télévision malgré nos critiques publiées dans les journaux nationaux, mais ces temps semblent paradoxalement révolus. Certes, on pourrait se vanter d’avoir fortifié le parc technique mais quels en ont été l’impact et le prix à payer et puis au détriment de quoi tout ce branle-bas ?
Ainsi, craignant que je sois mis dans la liste des « refusés » où l’humoriste Bziz est le chef de file, je vous écris dans l’espoir d’en avoir le cœur net. Ça ne me dérange pas que je sois proscrit comme cet artiste engagé, du système audiovisuel dont vous tenez les rennes, mais il serait révérencieux de le déclarer en toute humilité publiquement. Cela aurait au moins la vertu d’exprimer vos préférences . Cet atermoiement symptomatique n’est pas l’apanage uniquement de la RTM, même 2M manifeste le même désintérêt et cela depuis belle lurette. En tant qu’artiste peintre et critique de cinéma qui a des principes à défendre, jamais un « journaliste » de votre holding ne m’a approché pour me demander mon avis sur le produit visuel notamment sur les navets programmés à profusion, jamais cameraman n’est venu faire un zoom sur les trophées destinés à ces artistes de génie que je sélectionne en toute objectivité. Heureusement, j’ai mon blog pour m’exprimer librement et dont sa cote de popularité au sein de la blogosphère va crescendo. Pourtant, à chaque verdict du B-awards je faxe le communiqué sous-jacent aux directeurs et directrices des infos, sans résultats. Comme si ces institutions publiques leur appartenaient, on nous ignore par mépris et par manque de culture. Je ne fais pas de politique pour mériter de telles proscription insensée et marginalisation abusive.
Je vous parle en tant que contribuable car si SNRT et 2M étaient des entités totalement privées cette requête ne serait pas rédigée. Il en serait de même pour les autres canaux sous votre responsabilité .
Je vous rappelle que lors de l’édition 2006 du FIFM, nous avions vous et moi, une occasion de causer en aparté. Je ne sais pas si vous vous souvenez, on avait parlé de la cérémonie des oscars indiens qui devrait se tenir au Maroc. Vous m’avez remis votre carte de visite personnelle. A l’époque vous m’avez étonné (par comparaison à vos prédécesseurs) par votre modestie et une certaine écoute. Je m’étais dit : « Ca y’est la télé marocaine a trouvé son homme pour décoller ». La suite des événements m’a déçu. Un foisonnement de directeurs surpayés et dont les fonctions se recoupent de manière redondante. Le plus drôle c’est de trouver des directeurs qui présentent les infos. N’est-ce pas risible ? J’avais essayé de communiquer avec vous (à propos du projet d’une émission culturelle) via l’email que vous m’avez donné, mais ce « phoenix..» semblait injoignable à travers le réseau des réseaux.
Bref, nous sommes arrivés à la 5e édition des B-Awards et pour la première fois dans l'historique de ce prix culturel un marocain est honoré mais, pas une parole n’est diffusée sur les ondes, pas une fraction d’image n’est émise sur le bouquet. Les dossiers de médiatisation s’y afférant semblent jetés à la poubelle. N’est-ce pas injuste? Alors que des individus sans talent et sans culture se l’accaparent à tel point que SNRT et 2M devraient donner des certificats de résidence à ces éternels revenants qui donnent la migraine aux téléspectateurs marocains.
Je ne veux pas faire d’une petite requête une étude médiologique, mais je souhaite que vous ayez au moins l’obligeance d’y répondre sans rancune.
RAZAK
(Rabat, le 15 novembre 2009)
Blogs :
-http://bouzghiba-awards.blogspot.com
-http://razak-cinema.blogspot.com
samedi 21 novembre 2009
mercredi 18 novembre 2009
lundi 16 novembre 2009
Le Journal Hebdo , 5e B-awards
dimanche 15 novembre 2009
jeudi 12 novembre 2009
mardi 10 novembre 2009
Qods Chebaâ aux avant-postes de l'actualité
Alors que les rédacteurs de l’agence officielle de presse (MAP) semblent peiner pour trouver les mots pour une éventuelle dépêche, sachant qu’on leur a remis le communiqué en trois versions (arabophone, francophone et anglophone). Mais ces messieurs- dames semblent préoccupés par les ripostes musclées aux journaux indépendants qui ont franchi la ligne rouge et oublient les animateurs culturels qui suent pour faire avancer les choses au Maroc.
Wikio et Blogcatalog fidèles au rendez-vous
samedi 7 novembre 2009
MERCI HESPRESS
MERCI HESPRESS
mardi 3 novembre 2009
Le 5ème Prix International de l’Humour décerné à l’artiste Elarbi Sebbane
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Le 5ème Prix International de l’Humour
décerné à l’artiste Elarbi Sebbane
Le prix Bouzghiba-Awards 2009 est décerné à l’artiste marocain Elarbi Sebbane. C’est la première fois dans son historique qu’un marocain est auréolé de ce prix culturel et symbolique lancé en 2005 par RAZAK géniteur du personnage humoristique Bouzghiba et critique de cinéma . Ainsi en retournant au bercail, il prônerait certaines valeurs. En effet, le prix 2009 se voudrait un hymne à l’abnégation artistique, et à la clairvoyance. Sebbane, homme de principes, a prouvé à travers les trente années qu’il a consacrées à l’art de la caricature en général et à la caricature de presse en particulier qu'il est digne d’en être auréolé. Il y a beaucoup de sagesse dans sa démarche. Le trophée (un tableau portant la signature de l’initiateur de ce prix) lui a été remis dans la matinée du mardi 3 Novembre 2009.
Sebbane est né à Kenitra en 1948. Une des ses toutes premières expositions artistiques date de 1966. Depuis 1968, il publie régulièrement des dessins humoristiques dans la presse nationale et dans d’autres journaux arabes dont notamment Al Qods édité à Londres. Il a été membre fondateur de l’alliance des caricaturistes arabes (Damas 1984) dont la présidence a été confiée au martyre palestinien Naji Al Ali. En Tunisie, il participe à l’exposition collective dédiée aux Droits de l’Homme (1984). En 1992 le professeur El Manjra lui décerne son Prix du « Tawassoul al Hadari » (communication civilisationnelle) ex-aequo avec l’humoriste Senoussi Ahmed Alias Bziz .
A propos de la parution de l’ouvrage que le chercheur Abdelkrim Gharib a consacré à Elarbi Sebbane, Razak a rédigé une note de synthèse élogieuse entamée comme suit:
« L’homme en mériterait tout un paquet, vu l’intarissable encrier d’où il a puisé la sève de ses militantes planches, vu sa fertilité créatrice et surtout vu sa probité intellectuelle. Les années ont passé, mais l’artiste est resté égal à lui-même : compétent mais modeste, perspicace mais il déteste qu’on fasse de l’art un objet de négoce, battant mais toujours non battu, affable mais non affaibli. L’homme est d’une généreuse combativité. »
Dans un autre article rédigé antérieurement, intitulé « Mehmaz Story », Razak vante le mérite de cet artiste singulier en écrivant :
« Essabane est entré dans l’histoire de la presse marocaine par la grande porte. Lui qui de nature aime faire du bien et se contente de peu .Ce qui l’intéresse ce n’est pas la multiplication des chiffres sur un bulletin de paie mais vivre sa passion intensément »
Il est à rappeler qu’après que le prix a soufflé sa troisième bougie, Razak publia le tome-1 de la monographie s’y afférent pour faire le point sur ses spécificités, sa philosophie et ses objectifs suprêmes. L’ouvrage jette une lumière sur l’oeuvre des trois premiers gagnants. Il en serait ainsi pour les lauréats du présent et du futur. Pictural et bibliophilique, tels sont les traits distinctifs et inédits de ce prix antimatérialiste.
Maniant pinceaux et plume sans intermittence, Razak est l’auteur d’un livre paru au Canada (Au delà de l’Artifex, je dis). Dès sa sortie dans les librairies canadiennes une radio montréalaise lui a consacré trois émissions intitulées « Confidences littéraires ».
Autre bonne nouvelle concernant le blog, online sous URL http://bouzghiba-awards.blogspot.com .Il a été gratifié au mois de septembre 2009 par un encourageant classement (2ème au TOP-10) réalisé par une société américaine spécialisée (Wholinkstome). La presse nationale ne a fait écho.
Elarbi Sebbane wins fift Bouzghiba-Awards 2009
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Elarbi Sebbane honoured with
the fift Bouzghiba Prize in Humor
The Bouzghiba-Award 2009 is given to the Moroccan caricature artist Elarbi Sebbane. This award is being offered for the first time this year to a moroccan artist. This cultural prize was launched in 2005 by Razak the creator of Bouzghiba’s avatar and critic-movie in order to encourage comic performances around the World . For this year the prize should support across its symbolic goal ethic values. Elarbi Sebbane is known as a model of good behavior and for his own creativity. During twenty years of professional caricature he had been considered as a mirror of Moroccan society .The trophee is representing a painting made by Razak. It was given to the winner in the morning of Tuesday 3rd of November 2009.
Sebbane was born in 1948. His first exhibition was presented in 1966. Two years after he started to publish comic drawings in press. He was co-initiator of the arabic alliance of caricature artists headed by the famous Palestinian Naji al Ali. In Tunisia he participated to the great international exhibition dedicated to Human Rights (1984). Dr El Manjra awarded him ex-aequo with Moroccan humorist Ahmed Senoussi alias Bziz. They received a prize of “Tawassoul al Hadari “ (civilization in communicating ).
Razak who supervises this annual event has published a book in Canada (« Au delà de l’Artifex, je dis » Ed. Maxime, Montreal) .
So, after the third edition of Bouzghiba-awards he published a monographic book in order to make a special tribute in presenting the three winners (Patricia Piccinini 2005, French TV-program "C’Est pas Sorcier» 2006 and Theo Jansen 2007). The following winners will be presented in the second part of the monography. Art painting and bibliophilia are the two fundamentals characteristics that distinguish this cultural and anti-materialist prize.
One of the latest good news: In September 2009, the blog Bouzghiba-Awards powered by Blogger was well ranked ( second of TOP-10) by the American start-up in management of Web Ranking: Wholinkstome.
dimanche 1 novembre 2009
Bouzghiba-Awards 2009 :le compte à rebours a commencé
Le compte à rebours pour le cinquième Prix International de l’Humour a commencé. Qui va gagner le trophée du Bouzghiba-Awards 2009 ? Vous saurez le verdict très prochainement. Comme d’habitude, il y a bousculade et on a l’embarras du choix. Celui ou celle qui en serait honorée aurait en plus du trophée pictural (thème du tableau inspiré des activités du lauréat lui-même) la possibilité d’être (pourvu que le très maléfique H1H1 ne nous perturbe pas le programme prévisionnel) évoqué dans le tome-2 de la monographie Bouzghiba-Awards au même titre que les trois premiers lauréats. Deux caractéristiques fondamentales distinguent ce prix culturel de tout le reste : la peinture et la bibliographie. Bonne chance aux heureux gagnants du futur.
RAZAK