samedi 29 janvier 2011
vendredi 28 janvier 2011
Bouzghiba-Awards : méssages de courtoisie
Bouzghiba-Awards : Messages de courtoisie
Le message de courtoisie émanant du grand comédien suisse Arnaud Derib, le fils du roi de
Entre l’annonce du verdict et l’envoi définitif du trophée au gagnant, les aléas de domiciliation s’insèrent pour nous imposer un surplus de sueur. Quoiqu’il en soit, nous sommes heureux de constater qu’en l’espace de 6 éditions le Prix Bouzghiba de l’humour s’est imposé comme un carrefour incontournable, une plateforme innovante et novatrice. Grâce à sa teneur artistique et sa plus-value éthique ce prix culturel est devenu un phénomène transculturel outrepassant les frontières géographiques. Tout cela n’a été rendu possible que grâce au réseau de l’Internet. Pour le 6e prix nos amis les Coréens el les Ukrainiens se sont joints au cortége bouzghibien via leur portail-info respectif. Quand aux Hindous, Australiens et Canadiens, ils nous ont soutenu depuis les premières éditions et cela à travers leurs annuaires de blogs et de sites web (OneIndia, Anakstore, Blogged…). Quoi d’étonnant quand on sait que dans sa philosophie ébauchée au moment du fondement le prix prône le dialogue des cultures ? Et à ce titre le Maroc devrait se vanter d’avoir une telle estrade de démonstration pacifique visant le rapprochement des civilisations, des peuples et des cultures. Le feedback d’Arnaud Derib nous rappelle par sa finesse les mots chaleureux tant de François Vié de Riff-Production qui réalise l’émission «C’Est pas Sorcier » auréolée du 2e B-awards et de Theo Jansen le sculpteur-cinéticien hollandais lauréat du 3e Bouzghiba, Quand au chargé de communication de l’Ambassade de Chine, il n’a pas tari d’éloges au sujet du 4e Bouzghiba-Awards revenant à son compatriote le talentueux réalisateur Yimou Zhang qui a supervisé avec mæstria la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Pékin. On avait tant souhaité qu’une institution étatique marocaine fasse venir ce grand metteur en scène au Maroc pour rencontrer ses nombreux admirateurs. Nos demandes sont restées à ce jour sans réponses. Encore une fois, félicitation à tous les lauréats des Bouzghiba-Awards.
Quelques feedbacks:
-François Vié (Riff-Production):
« Nous vous remercions vivement d’avoir distingué « C’Est pas Sorcier », en rendant hommage à son humour. Cet humour est plus important qu on ne l’imagine et nous vous sommes reconnaissants d’avoir su identifier son importance. »
-Theo Jansen:
« Cher Razak, merci pour votre magnifique peinture. Je viens de la récupérer au centre d’information Ypenburg. J’aime beaucoup cette peinture et je suis très honoré de recevoir le Prix Bouzghiba. Continuez votre magnifique travail. Je vous souhaite le meilleur.
Theo Jansen »
-Arnaud Derib:
« Encore un tout grand merci pour ce trophée et votre téléphone, mon père vous a fait suivre un petit mot ! Au plaisir. Sincères salutations !
Arnaud Derib »
jeudi 27 janvier 2011
Bouzghiba-2010 via le provider coréen KMLE
mercredi 26 janvier 2011
بوزغيبة 2010 جريدة العلم
dimanche 23 janvier 2011
vendredi 21 janvier 2011
Bouzghiba-2010 sur le site ukrainien Petanque-UA.org
jeudi 20 janvier 2011
6e Prix International de l'Humour: humeur de fin de chevauchée bouzghibienne
6e Prix International de l'Humour : humeur de fin de chevauchée bouzghibienne
De nombreux artistes marocains et journalistes aguerris qui savent ce qu’ils font, obnubilés par la médiocrité ambiante nous ont suggérée d’ajouter aux critères de sélections adoptés pour le Prix International de l’Humour, une clause de dérogation en faveur des nuls et des médiocres, étant donné que ces derniers sont les plus nombreux, plus actifs et plus influents. Les «tocards» de tout acabit qui dominent les scènes artistiques et médiatiques marocaines ont besoin d’un prix taillé sur mesure pour caresser leur ego. Ce Prix-bis destiné aux vauriens et aux vauriennes aurait comme trophée une caricature satyrique et grossière où les traits seraient poussés à l’extrême. Le recours zoo-graphique aux éléments de la faune serait un des plus approprié. Ainsi le «speaker-tortue» ayant l’esprit nain, «la présentatrice-grenouille» qui se dandine paresseusement entre le réveil et la somnolence et puis la «rédactrice-doberman» de Ain Sebaâ dont les crocs acérés font peur aux enfants seraient récompensés pour leurs débiles activités et mis sur un piédestal plein de rouille.
Contre toute attente, on refuserait de telles dérogations. Elles seront non avenues. Par ailleurs, quels que soient les aléas, les Bouzghiba-Awards ne prendront jamais ces chemins tortueux menant vers nulle part, sinon vers la déroute.
Qu’une chanteuse au crépuscule de sa carrière juge bon d’acheter les prix pour redorer son blason, cela ne nous emplirait que d’aigreur et de dépit. Même si, par on sait quel miracle, cette chanteuse parvenait à faire rire le globe terrestre, ce prix culturel et hautement symbolique ne lui serait jamais décerné, pour la bêtise verbale qu’elle vient de commettre. Les prix doivent auréoler les plus talentueux et non pas les plus riches. Comme confession de foi: l’initiateur des Bouzghiba-Awards (votre serviteur) ne céderait jamais à la tentation mercantile. C’est pour cette probité salutaire que le prix Bouzghiba est devenu un phénomène Internet. Chaque jour que les divinités du NET font on enregistre de nouveaux supporters. Seuls, les «analphaBIT» dont le profil a été brossé avec précision dans le tome-1 de la monographie relative à ce prix peuvent l’ignorer.
La chaine 2M n’a pas tenu sa promesse. Cela fait 16 jours que l’on attend un sursaut d’honneur. Mais il semble que la phrase véridique avec laquelle l'on a achevé le communiqué final est derrière cet atermoiement. Vu sa véracité on la reproduit texto pour chasser toute ambiguïté: «Pictural et bibliographique tels sont les caractéristiques fondamentales de ce prix farouchement antimatérialiste et aux antipodes des estrades de commerce organisées çà et là avec grand fracas pour faire l’apologie de la laideur. Ces boutiques de troc paradoxalement et copieusement servies par un système audiovisuel décadent et malade de ses dirigeants ont ignominieusement frelaté et perverti la scène artistique dans sa globalité».
Le roi de la BD Claude Derib a reçu définitivement le trophée. El Hanni l’homme à la «vision hirondéllique» qui dans une communication téléphonique établie dans la soirée du dimanche 16 janvier avec Arneau de Ribeaupierre, le fils de Derib, nous a donné la confirmation de la réception définitive dudit trophée. El Hanni qui, depuis la troisième édition (Prix décerné à Theo JANSEN), est devenu un fervent aficionados de Bouzghiba au point de consacrer une leçon de dessin à ses élèves sur ce personnage hilarant, était charmé d’avoir fait la connaissance d’un artiste aussi talentueux que communicatif comme Arneau . Grâce à Google, l’Homme-Hirondelle découvre que ce dernier est un grand comédien et réalisateur réputé notamment en Suisse et en Europe,
La première chaine décriée depuis jadis pour sa nullité aurait fait œuvre utile par le biais de Canal Atlas ( minichaine dont les cameras se baladent en Europe) en allant recueillir les propos tant de Derib que de son fils, d’autant plus que ce grand bédéiste est un ami du Maroc. La deuxième chaîne toujours gérée d'une main de fer aurait montré à la multitude que nos critiques envers elle et sa programmation sont infondées.
Comme proposition humoristique et pour faire plus de bruit, l'Homme-Hirondelle nous suggère de faire appel à un Ghayyat (instrumentiste populaire utilisant un hautbois) , un Tabbal (homme utilisant tambour) et un Berrah (crieur public ) pour scander à tue-tête devant les portails tant de l'agence officielle de presse MAP que de la SNRT :«Daha Ouaddaha DERIB Makhallaha». Avec du tintamarre, il serait possible de réveiller les esprits formatés de certains "journalistes–fonctionnaires" englués dans leurs déboires.
Que dire en conclusion? C’est avec les gens raffinés et qui ont du goût que l’art évolue et puis trouve un exutoire pour la postérité. Durant les 30 ans que l’on avait consacrés à la critique artistique de manière quelque peu effrontée et suicidaire, l’on a remarqué que ceux qui œuvrent inlassablement pour faire avancer les choses au Maroc sont relégués aux second plan, alors que les tonneaux vides continuent de faire du bruit et trouvent paradoxalement des hauts parleurs décadents pour en propager la mièvrerie.
RAZAK
mardi 18 janvier 2011
dimanche 16 janvier 2011
6e B-Awards sur SAVDESMARQUES
6e B-Awards sur Linta-Oto.info
vendredi 14 janvier 2011
samedi 8 janvier 2011
jeudi 6 janvier 2011
mercredi 5 janvier 2011
Bouzghiba-2010: chronologie d'un envoi
COMMUNIQUE
Envoi du trophée Bouzghiba-2010 à Derib
Le trophée du prix Bouzghiba 2010 de l’humour a été envoyé le mercredi 5 janvier 2011 à DERIB l’heureux lauréat, par le biais du service marocain de messagerie Chronopost International Maroc.
Partant des mêmes critères de sélection, d’universalité et de la même rigueur d’appréciation, le Prix culturel Bouzghiba Awards est décerné à ce grand dessinateur et scénariste de bandes dessinées en reconnaissance à son labeur et à son abnégation. A travers ce prix culturel lancé en 2005, pour rendre hommage aux sommités de l’art qui œuvrent inlassablement dans le domaine de l’humour, nous voudrions auréoler, tant le fécondité créatrice que la persévérance. Plus de trois décennies de créativité au service de la bonne humeur, cela mérite un trophée de reconnaissance hautement symbolique comme le Bouzghiba-Awards.
Derib est le 6e lauréat du Prix International de l’Humour, succèdent aux cinq premiers lauréats à savoir: la sculpteuse australienne Patricia Piccinini (prix de démystification), les animateurs du programme-TV «C’Est pas Sorcier » (prix de vulgarisation scientifique), Theo Jansen, le physicien et artiste néerlandais se déclinant du courant le plus influent de l’art cinétique (l’art au service de l’écologie), ZHANG YIMOU le metteur en scène chinois qui a supervisé le show inaugural de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Beijing-2008 et Larbi Sebbane (doyen des caricaturistes marocains). Le premier tome du livre monographique consacré aux Bouzghiba-Awards a été publié au mois de novembre 2008 pour jeter une lumière sur l’œuvre des trois premiers lauréats. (Une copie de ce livre a été jointe au trophée).
RAZAK
samedi 1 janvier 2011
Lettre à DERIB
Le verdict du 6e Prix International de l ’Humour a été rendu en votre faveur. Nous avons écrit à l’ambassade de Suisse à Rabat dans l’espoir de trouver la voie appropriée pour vous acheminer le trophée représenté par un tableau de peinture. Dans le blog dédié au prix (http//bouzghiba-awards.blogspot.com) vous trouverez tous les détails nécessaires.
Je vous souhaite une bonne et joyeuse année
Le prix Bouzghiba: critères
C’est un prix culturel symbolique, ouvert à tous les créateurs du monde, sans distinction de race, de croyance et de pays;
Le trophée est un tableau de peinture réalisé par l’initiateur du prix;
Le Prix ne concerne que les personnes vivantes se distinguant par l’abondance et la continuité dans la production;
Tous les arts et disciplines sont pris en compte;
La composante humoristique est fondamentale. L’humour édifiant est une prédilection omniprésente.
Le Prix n’est pas tributaire d’aucune aire géographique. Il aspire à l’universalité par itinérance transculturelle.
Un ouvrage récapitulatif est éventuellement publié pour faire l’éclairage approprié sur les lauréats. (Le tome-1 de la monographie Bouzghiba est paru en 2008).
NB: Les lauréats pourraient refuser le trophée, si toutefois ils n’y trouvaient aucun intérêt.