mardi 29 décembre 2009

5e B-Award (journal londonien Al Quds al Arabi)


QUI AIME BIEN CENSURE BIEN
DIEU PROTEGE MOI DE MES AMIS
MES ENNEMIS JE M'EN CHARGE
LES AMIS DE LARBI SEBBANE ONT ETE
LES PLUS AVARES EN MATIERE D'INFORMATION
SEBBANE A PUBLIE DES DIZAINES
DE CARICATURES DANS LE JOURNAL AL QUDS
VOILA CE QUE SON CORREPONADNT AU MAROC A ECRIT
SUR SA CONSECRATION: DEUX LIGNES DONT UNE EST BOITEUSE

Energumènes de l'art (article paru dans le journal L'Opinion)


samedi 12 décembre 2009

Targa museum


TARGA MUSEUM OU L’ART DE TRANSFORMER
LES ARBRES MORTS EN SCULPTURES VIVANTES

A travers le cheminement blogosphérique de Bouzghiba-Awards, il nous arrive de céder par enchantement aux coups de coeur qui se présentent dans leur suavité et cela sans qu’un « award » bouzghibien en soit le motif. Cela pourrait être un hommage à un musicien-poète singulier comme Léo Ferré ou tout simplement une chanson comme « In the Ghetoo» du king Elvis Presley. Ces coups de cœurs palpitent à travers ce blog trans-culturellement ouvert sur le monde. Aujourd’hui, le clin d’œil louangeur s’impose de lui-même parce qu’un sculpteur marocain est entrain de changer le visage d’une ville. Marrakech en toute occurrence qui, en grandissant sous l’effet de l’urbanisation effrénée a tendance à s’enlaidir, a trouvé grâce à l’idée géniale de Hafid Taqouraite le remède. Cela commence par une petite rue mais par contagion d’autres places seraient atteintes par l’onde de choc esthétisante. En effet, la route de Targa va bientôt être connue à travers le monde entier non pas par ses chaussées mal goudronnées mais parce qu’elle est désormais le théâtre permanant d’un événement de grande envergure: l’avènement du premier « Musée de rue » où Dame Nature , cédant ses cadavres de bois à des mains expertes en ciselage, participe à l’embellissement de la ville. Ce musée à ciel ouvert est d’un genre spécial. Il est issu d’une belle métamorphose: transformer des eucalyptus déshydratés et biologiquement morts en sculptures vivantes, un autre destin à la fois paysagiste et écologique avec une plus-value touristique et culturelle évidente. L’idée vaut son pesant d’or. Quatorze arbres à l’agonie y retrouvent grâce à une vingtaine de bûcherons de charme la chance d’une seconde vie, échappant ainsi aux fours et aux Celsius de la carbonisation. Les sculpteurs qui ont cru en cette idée lumineuse et qui s’y sont attelés avec ardeur et beauté à la concrétiser méritent qu’on leur dise tous Bravo pour le beau travail accompli. Ils ont laissé leurs empreintes. Ils appartenaient à diverses nationalités mais dans le domaine de l’art il n’y en a qu’une.
Avant d’en arriver là, l’initiateur de ce projet a failli y laisser sa peau :
« Cela fait des années que je pensait à un tel projet, me confia Abdelhafid. Un jour, j’ai pris mon appareil photo et me suis dirigé vers ce lieu où ces arbres dépourvus de vie sont érigés. Pour pouvoir en étudier la texture et la morphologie, je me suis mis à les photographier. Soudain, des soldats sortant d’une petite caserne jouxtant cette rangée d’arbres m’ont appréhendé. L’interrogatoire a failli tourner au vinaigre. Heureusement, un haut gradé des FAR ayant pressenti l’intérêt et apprécié la noblesse de mon initiative a mis un terme à mon calvaire. »
Ce dénuement salutaire prouve qu’au sein de l’armée on peut trouver, contre toute attente, des amateurs d’art voire des collectionneurs plus clairvoyants que ceux qui travaillent dans le ministère de tutelle lui même.
Parmi les artistes qui ont participé à ce premier « Musée de rue » au côté de Hafid Taquouraite on peut citer : Abdelhak El Youssi, Nicole Palanque, Erdal Celik, Jean-Pierre Gout, Said Touirse, Mustaphia Bakchi , Jean-Luc Krolikowski, Narcisse Renarison, Nicola Flessig, Gé Pellini, Isabelle Magoni, Justo Alemendros, Hassan Mahdaoui, Karim El Afia , Mohamed Farkchi, Mohamed Najahi …sans oublier l’entité B’Art qui selon Hafid a failli à ses engagements.
« La responsable de cette entité précise t-il était dans un premier temps positive et entreprenante, mais elle n’a pas tenu toutes ses promesses en dernier lieu. Elle est partie laissant derrière elle des factures salées ( RADEMA, téléphonie, Internet…) que je dois payer… »
Notons avant de finir, que le sculpteur marocain Tanane qui collabore avec une société de production cinématographique, discute en ce moment avec l’initiateur du projet en vue de faire un film documentaire sur lui. Espérons que des embûches n’en empêcheraient pas la réalisation.
RAZAK

jeudi 3 décembre 2009

5e Bouzghiba-Awards: humeur de fin de campagne médiatique


5e Bouzghiba-Awards :
humeur de fin de campagne médiatique


Comme à l’accoutumée, il est temps de dresser un petit bilan suite à la 5ème édition du prix Bouzghiba de l’humour revenant au doyen des caricaturistes marocains Larbi Sebbane. Globalement, l’on éprouve une certaine satisfaction par comparaison aux éditions passées. Nous dirions d’emblée que depuis le lancement de ce prix culturel , nous n’avions jamais cherché à faire unanimité , notamment en matière de presse écrite , car cette unanimité est dangereuse parce qu’elle entraîne souvent la perversion. Par ailleurs, quelque soit l'importance de l'évenement à couvrir , cette unanimité ne peut pas se faire au Maroc à cause des intrus plus ou moins fliqués qui, déguisés en journalises, faussent le calcul en y injectant leur venin. Allez savoir pourquoi la MAP a attendu plus de 20 jours pour diffuser un petit filet d’encre avec restrictions géographique et linguistique. Allez savoir pourquoi les deux chaînes du holding de service public SNRT et 2M brillent par leur mepris envers Bouzghiba et ses dérivés culturels. Cette démarche négative et pathologique n’a rien de reluisant. A travers l’aventure bouzghibiennne, on voulait que les têtes bien faites de ce pays réfléchissent un petit peu à l’avenir de la culture et aux défis du présent. Car en fin de compte, les prix lucratifs ont faussé, par marchandisation exacerbée et outrancière, les valeurs artistiques et culturelles. Pour un novice, cela pourrait l’aider à avoir confiance en ses capacités , mais pour les artistes de renom cela pourrait représenter une source de perversion et déstabilisation. Si Jean Paul Sartre avait refusé le prix Nobel et si Sonâllah Ibrahim et Goytisolo avaient dit non aux substantielles récompenses des gouvernements égyptien et libyen , c’est parce qu’ils savent qu’il y a anguille sous roche. Quelque chose de louche se trouve là-dedans comme des verrues hideuses cachées derrière le vernis des apprances . Pour notre modeste initiative, on a opté pour le symbolique, rehaussé par la binarité : picturale et bibliographique.
« Si à la place d’une œuvre d’art on donnait un chèque bancaire, le Prix Bouzghiba n’aurait aucune crédibilité. Tous les maux viennent du pécule », ainsi avions-nous écrit dans le tome-1 de la monographie relative aux Bouzghiba-Awards (page 96). On aimerait ajouter que dès que l’argent s’en mêle le symbolique disparaît. Les personnes qui ont une copie de ce livre peuvent relire l’introduction. Tout est déballé dans le premier paragraphe avec des mots du cru:
« Pour le prix Bouzghiba de l’humour, nous avons choisi, dès son lancement en 2005, la voie épineuse, au lieu des raccourcis fainéantisés menant à l’autoglorification trompeuse, qui ajoute à l’art plus de tares qu’elle n’en retranche. Ne voulant point céder à la facilité, nous voudrions faire l’éloge de l’excellence, loin de tout tapage folklorique et de tout marchandage aliénant. »
En tout cas, nous remercions tous les journaux, les annuaires de blogs internationaux et les portails de web-info pour leur génereux appui, que ce soit pour l’exposition « spécial Bouzghiba», le prix donné en son nom, la monographie ou le classement encouragent (2e au Top-10) du blog Bouzhiba-awards établi par une société américaine spécialisée en mangement cybernétique de web-ranking).


LISTE RECAPITULATIVE :


PRESSE ECRITE :
o Al Alam (articles sur le personnage Bouzghiba et 5e B-awards)


o Bayane al Yaoum (5e B-awards)


o Al Ousboue Assahafi (classement du blog et 5e B-awards)


o Al Ittihad al Ichtiraqui (la monographie et 5e B-awards)


o Al Maghribia (articles sur le personnage et le 5e B-awards)


o Asharq al Awsat (sur le personnage, la monographie, le 1e, 2e et 5e B-awards)


o Libération (la monographie, le 2e et le 5e B-awards


o Al Ayyam (la monographie)


o Al Watan (classement du blog et 5e B-awards)


o Achourouq (la monographie et le 5e B-awards)


o Al Ahdath Al Maghribia (2e B-awards)


o Al Jarida al Oula (la monographie)


o Al Massae (la monographie et le classement du blog)


o Al Mounaâtaf (classement du blog et 5e B-awards)


o Saydathi (sur le personnage)


o Madariq (revue éditée en France, article sur le 5e B-awards)


o Al Ittihad (journal émirati, article sur le personnage)


o L’Opinion (le personnage, le classement du blog et le 5e B-awards)


o Maroc-Hebdo International (classement du blog)


o Au fait (la monographie)


o Le Journal hebdomadaire (5e B-awards)


o Le Matin ancienne édition (sur le personnage)


o Le Soir sur (classement et 5e B-awards)


o Al Haraka (2e B-awards)


o Rissalat al Oumma (2e B-awards)


o Aujourd’hui le Maroc (5e B-awards)


o Al Bayane ( 2e et 5e B-awards)


o Anoual (le personnage)


o Al Maghrib (le personnage)

o Al Mithaq (le personnage)



RADIOS: FM Casablanca



AGENCES DE PRESSE: La MAP (2e et 5e B-awards)

5e B-awards: web info sur Babelfeeds et Genwi


mardi 1 décembre 2009

Montmartre de Rabat : mise au point


Le journal arabophone Al Masse a publié dans son édition du 30 novembre 2009 une petite dépêche (rubrique : les coulisses de Rabat, Salé et leurs régions) dans laquelle on évoque la visite de courtoisie du Maire d’une exposition d’arts plastiques. A la fin de ce filet d’encre, on indique que le Maire a donné son accord pour la rétrocession (Tafouite) des ex-kiosques à fleurs jouxtant le théâtre Mohamed V aux artistes peintres pour exposer leurs travaux par alternance. On ne mentionne pas le nom du véritable instigateur de ce projet . On parle de rétrocession (Tafouite) alors qu’il s’agit de la mise à disposition des artistes de 15 cabanons abandonnés par les fleuristes.
Pour plus de précisions, c’est l’auteur de ces blog-lignes qui est l’initialiseur bénévole de cette idée. Suite à ma demande , j’avais eu une entrevue avec le conseiller du maire Mr Abou Al Fadl dans laquelle on avait discuté des modalités nécessaires pour réussir cet événement.
Les travaux de réhabilitation des 15 kiosques ont déjà débuté. On en est à la réfection des pavés. J’espère que les artistes seraient à la hauteur des attentes.

Documents s'y afférants :

1-Lettre au maire (voir image ci-dessus)

2-Article: A l’instar de Paris, Rabat aura-t-elle enfin son Montmartre ?
(posté dans le blog le 7 Septembre 2009)

« Les parisiens se vantent d’avoir leur Montmartre. Un sorte d’estuaire urbain des arts plastiques où les artistes tous calibres confondues se retrouvaient (et se retrouvent toujours). A Rabat, une occasion en or se présente pour créer son Montmartre et par la même occasion relancer les Beaux-Arts après une longue léthargie pour ne pas dire régression. En effet, les kiosques à fleurs se trouvant au centre-ville sont actuellement vacants, après le déménagement des fleuristes vers leur endroit habituel (Place ex-Piétri). Pensant qu’ils pourraient servir la création artistique qui souffre de moult handicaps, nous avons proposé au maire de Rabat l’idée de les reconvertir en petites galeries d’art.
De manière chanceuse, le soir du 6 août 2009 qui coïncida avec l’ouverture de l’exposition commémorative du premier cinquantenaire de l’USFP et dont le maire (Mr Fathallah Oulaâlou) est membre dirigeant, je lui en ai parlé succinctement en lui remettant en main propre un dossier dans l’espoir de voir ce petit projet (mais grand par sa portée culturelle) concrétisé pour le bien général (…) Il est temps de remédier à ces lacunes en mettant ces kiosques à la disposition des artistes au lieu de les laisser se désagréger sous l’effet des intempéries. »

3-Article : De belles idées mais sans le pouvoir
(posté dans le blog le 22 Septembre 2009)

« Les deux derniers projets et qui ne sont pas des moindres sont en cours d’examen (ONCF et Mairie de Rabat) (…) Il s’agit de: Ferrovi-Art consistant à faire « entrer l’art en gare » c’est à dire aménager un espace approprié au sein des nouveaux locaux pour accueillir des expositions de peinture. L’autre projet qui aurait un impact historique vise la transformation des 15 kiosques à fleurs abandonnés en petites galeries d’art, ce serait l’avènement du Montmartre de Rabat dont rêvent tous les artistes marocains si on disait OK. »

4-Extrait du CV:
2009 :-Projet FerroviArt (en cours d’examen par l’ONCF).
-Projet Montmartre de Rabat (reconversion des kiosques à fleurs en
galeries d’art , en cours de finalisation) .

La dépêche de la MAP (5e B-Awards) reprise par CCME

La dépeche de la MAP relative au 5e B-awards reprise par le Site officiel du CCME (Conseil de la Communauté Marocaine à l’étranger)

5e B-Awards 2009 : Al Bayane et ALM




lundi 30 novembre 2009

5e B-Awards presse électronique: Afromix.org , Eost , Jobaupair et Yorkza (actu en anglais )


5e B-awards 2009 , presse éléctronique : Afromix.org , Eost , Jobaupair et Yorkza (actu en anglais )

jeudi 26 novembre 2009

5e B-awards: Al Maghribiya


5e B-awards:la dépeche de la MAP

Grâce au portail web-info Casafree nous apprenons que la MAP (agence officielle de presse du Maroc ) a enfin décidé de ne pas boycotter l'info relative au 5e B-awards 2009 . Mieux vaut tard que jamais .

lundi 23 novembre 2009

بوزغيبة ككائن بيولوجي وكإيقونة فنية



بحت الكاتب المغربي المعروف محمد البحتوري في موضوع بوزغيبة وتعمق في خصائص هذه النبتة ووظائفها البيولوجية كما ركز على رمزية الاستبطان والتوطين لبوزغيبة الإيقونة . فهو بصدد إنهاء فصول مؤلف فني يضم مقاربة جديرة بالاهتمام . فتحت عنوان : إطلالة على عالم عبدالرزاق رزاق، يقول البحتوري في إحدى فقراته :



" فرحي مرده لكون هذا المتمرد في زيغه الفني خارج السكك المسكوكة ، استطاع أن يتمكن من توطين وتجذير تجربته الفنية ، بعدما اكتشف أن السبيل الوحيد إلى ذلك هو ضرورة ربطها بنبتة طبيعية مغربية قحة لها جذور عميقة في التربة المغربية عبر تاريخها. فبقدر مالها من مظاهر جمالية فاتنة ، لمعان اخضرار أوراقها ، وسحر روعة ازدواجية أزهارها ، بيضاء في نوع، زرقاء في نوع أخر ، زرقة شفافة وحالمة، بقدر ما لها من مكائد اداية وأشرار في الخفاء. فإذن تبطن أفعال الاداية وتظهر أفعال المتعة البصرية. وهذه مجرد مظاهر خداع لهذا العالم المحيط بها ،تظهر عكس ما تبطن ، لذا اكتشفها عبد الرزاق الفنان متأهلة برشد ولياقة وجودية فائقة ، لأن تكون المرايا العاكسة لتعدد وجوه وأقنعة المسلكيات التي تسطو وتهيمن على طقوس عبور حياة أرضنا في جريانه المتلخبط والمدوم .تم استنبطها بذكاء عبقري بعدما اقتنصها عبر استقراء للطبيعة والواقع .بمثل هذه التجربة يتأتى لفننا أن يمسك بخصائص هويتنا في تأسيسه وتكونه من داخله وتطوره من نباتاته ومنابع مشاربه كما حصل في تأسيس الفن الأوروبي الحديث حين أكد الفنان ارتباطه بطبيعة أرضه. ولا داعي هنا لأكرر ما قلته مرارا عن الدور الذي لعبته في هذا الشأن لوحة مانيه "غداء فوق العشب" وهذا ما أوحي لي بنسق هذه المقاربة. فبتوظيف أمثال هذا الرمز المغربي المتوغل في عمق طبيعتنا وحياة ومعيشة السواد الأعظم من أناسنا إلى حد غدت كثير من أنماط مظاهر هذه الحياة خاضعة لما يخفي ويبطن وما يظهر. يستطيع الإبداع المغربي أن يمسك بضالته ويمتلك ناصية تبلور وتجليات مرامي وظائفه، والخيل الخير في نواصيها

dimanche 22 novembre 2009

Lettre ouverte à Mr. Faiçal Laâraichi PDG du holding-TV de service public

Lettre ouverte à Mr. Fayçal Laraïchi PDG

du holding-TV de service public

Depuis le lancement du prix international de l’humour en 2005 , dont je suis l’instigateur et à l’instar des autres animateurs culturels qui, bénévolement suent pour réussir, contre vents et marées, leurs initiatives en ne comptant que sur leurs propres ressources, je me suis adressé aux différentes entités (radio, Al Oula, 2M ,…) composant le holding de service public que vous dirigez en vue d’une couverture médiatique, à la mesure du possible et à la dimension de cet événement culturel. Malheureusement, aucune suite favorable n’a été réservée à mes demandes. Même la parution de mon dernier livre est passée « audio-visuellement » inaperçue et cela contrairement à la presse écrite qui a fait son devoir, sachant que juste après la parution du tome-1 de la monographie relative aux Bouzghiba-Awards, j’ai dû déposer au bureau d’ordre de votre institution un ensemble de dossiers comportant , en plus de l’exemplaire du livre, mon book-press et une demande dûment formulée pour donner acte à mon humble aventure. Mon blog qui en fait référence et qui a été classé récemment 2e au Top-Ten par une société américaine spécialisée en « management of web-ranking » a souffert de la même rigidité administrative même si, indirectement, le pays s’en trouvait honoré, puisque, on le veuille ou non, il porte la bannière marocaine. Je ne veux pas citer les noms des responsables, car le but de cette requête n’est pas de dénoncer quiconque mais plutôt d’interpeller un mode de gestion qui privilégie certaines choses et en néglige d’autres. Je vous signale qu’à l’époque que l’on disait difficile, on avait accès à la télévision malgré nos critiques publiées dans les journaux nationaux, mais ces temps semblent paradoxalement révolus. Certes, on pourrait se vanter d’avoir fortifié le parc technique mais quels en ont été l’impact et le prix à payer et puis au détriment de quoi tout ce branle-bas ?

Ainsi, craignant que je sois mis dans la liste des « refusés » où l’humoriste Bziz est le chef de file, je vous écris dans l’espoir d’en avoir le cœur net. Ça ne me dérange pas que je sois proscrit comme cet artiste engagé, du système audiovisuel dont vous tenez les rennes, mais il serait révérencieux de le déclarer en toute humilité publiquement. Cela aurait au moins la vertu d’exprimer vos préférences . Cet atermoiement symptomatique n’est pas l’apanage uniquement de la RTM, même 2M manifeste le même désintérêt et cela depuis belle lurette. En tant qu’artiste peintre et critique de cinéma qui a des principes à défendre, jamais un « journaliste » de votre holding ne m’a approché pour me demander mon avis sur le produit visuel notamment sur les navets programmés à profusion, jamais cameraman n’est venu faire un zoom sur les trophées destinés à ces artistes de génie que je sélectionne en toute objectivité. Heureusement, j’ai mon blog pour m’exprimer librement et dont sa cote de popularité au sein de la blogosphère va crescendo. Pourtant, à chaque verdict du B-awards je faxe le communiqué sous-jacent aux directeurs et directrices des infos, sans résultats. Comme si ces institutions publiques leur appartenaient, on nous ignore par mépris et par manque de culture. Je ne fais pas de politique pour mériter de telles proscription insensée et marginalisation abusive.

Je vous parle en tant que contribuable car si SNRT et 2M étaient des entités totalement privées cette requête ne serait pas rédigée. Il en serait de même pour les autres canaux sous votre responsabilité .

Je vous rappelle que lors de l’édition 2006 du FIFM, nous avions vous et moi, une occasion de causer en aparté. Je ne sais pas si vous vous souvenez, on avait parlé de la cérémonie des oscars indiens qui devrait se tenir au Maroc. Vous m’avez remis votre carte de visite personnelle. A l’époque vous m’avez étonné (par comparaison à vos prédécesseurs) par votre modestie et une certaine écoute. Je m’étais dit : « Ca y’est la télé marocaine a trouvé son homme pour décoller ». La suite des événements m’a déçu. Un foisonnement de directeurs surpayés et dont les fonctions se recoupent de manière redondante. Le plus drôle c’est de trouver des directeurs qui présentent les infos. N’est-ce pas risible ? J’avais essayé de communiquer avec vous (à propos du projet d’une émission culturelle) via l’email que vous m’avez donné, mais ce « phoenix..» semblait injoignable à travers le réseau des réseaux.

Bref, nous sommes arrivés à la 5e édition des B-Awards et pour la première fois dans l'historique de ce prix culturel un marocain est honoré mais, pas une parole n’est diffusée sur les ondes, pas une fraction d’image n’est émise sur le bouquet. Les dossiers de médiatisation s’y afférant semblent jetés à la poubelle. N’est-ce pas injuste? Alors que des individus sans talent et sans culture se l’accaparent à tel point que SNRT et 2M devraient donner des certificats de résidence à ces éternels revenants qui donnent la migraine aux téléspectateurs marocains.

Je ne veux pas faire d’une petite requête une étude médiologique, mais je souhaite que vous ayez au moins l’obligeance d’y répondre sans rancune.

RAZAK

(Rabat, le 15 novembre 2009)

Blogs :

-http://bouzghiba-awards.blogspot.com

-http://razak-cinema.blogspot.com

lundi 16 novembre 2009

Le Journal Hebdo , 5e B-awards


BIENVENUE AU JOURNAL-HEBDO DANS L'UNIVERS BOUZGHIBIEN .
L'ON SOUHAITE QUE LA FAUCILLE QUI A ECOURTE LA LONGEVITE DE MOULT PUBLICATIONS L'EPARGNE. L'ANNEE 2009 SEMBLE L'UNE DES PLUS NOIRES POUR LA PRESSE INDEPENDANTE AU MAROC .

mardi 10 novembre 2009

La revue Madarik éditée en France repercute l'info du 5e B-Awards


Qods Chebaâ aux avant-postes de l'actualité


Tel père, telle fille, Qods Chebaâ la fille du célèbre peintre Chebaâ , brillante journaliste du journal Le Soir est la première à avoir publié dans la presse écrite un article sur le 5eme B-Awards.
Alors que les rédacteurs de l’agence officielle de presse (MAP) semblent peiner pour trouver les mots pour une éventuelle dépêche, sachant qu’on leur a remis le communiqué en trois versions (arabophone, francophone et anglophone). Mais ces messieurs- dames semblent préoccupés par les ripostes musclées aux journaux indépendants qui ont franchi la ligne rouge et oublient les animateurs culturels qui suent pour faire avancer les choses au Maroc.

Wikio et Blogcatalog fidèles au rendez-vous

Fidèles au rendez-vous, les deux grands annuaires de blogs Wikio et Blogcatalog ont repecuté l'actu relative au 5ème B-Awards.

samedi 7 novembre 2009

MERCI HESPRESS


La presse électronique dispose des outils technologiques adéquats et performants qui lui permettent un traitement médiatique d’une célérité exemplaire. HESPRESS un des portails de l’information instantanée les plus populaires au Maroc et ailleurs a eu la primeur de répercuter l’actu relative au 5eme prix Bouzghiba revenant au talentueux caricaturiste Larbi Sebbane.
MERCI HESPRESS

mardi 3 novembre 2009

Le 5ème Prix International de l’Humour décerné à l’artiste Elarbi Sebbane


COMMUNIQUE
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Le 5ème Prix International de l’Humour
décerné à l’artiste Elarbi Sebbane

Le prix Bouzghiba-Awards 2009 est décerné à l’artiste marocain Elarbi Sebbane. C’est la première fois dans son historique qu’un marocain est auréolé de ce prix culturel et symbolique lancé en 2005 par RAZAK géniteur du personnage humoristique Bouzghiba et critique de cinéma . Ainsi en retournant au bercail, il prônerait certaines valeurs. En effet, le prix 2009 se voudrait un hymne à l’abnégation artistique, et à la clairvoyance. Sebbane, homme de principes, a prouvé à travers les trente années qu’il a consacrées à l’art de la caricature en général et à la caricature de presse en particulier qu'il est digne d’en être auréolé. Il y a beaucoup de sagesse dans sa démarche. Le trophée (un tableau portant la signature de l’initiateur de ce prix) lui a été remis dans la matinée du mardi 3 Novembre 2009.
Sebbane est né à Kenitra en 1948. Une des ses toutes premières expositions artistiques date de 1966. Depuis 1968, il publie régulièrement des dessins humoristiques dans la presse nationale et dans d’autres journaux arabes dont notamment Al Qods édité à Londres. Il a été membre fondateur de l’alliance des caricaturistes arabes (Damas 1984) dont la présidence a été confiée au martyre palestinien Naji Al Ali. En Tunisie, il participe à l’exposition collective dédiée aux Droits de l’Homme (1984). En 1992 le professeur El Manjra lui décerne son Prix du « Tawassoul al Hadari » (communication civilisationnelle) ex-aequo avec l’humoriste Senoussi Ahmed Alias Bziz .
A propos de la parution de l’ouvrage que le chercheur Abdelkrim Gharib a consacré à Elarbi Sebbane, Razak a rédigé une note de synthèse élogieuse entamée comme suit:
« L’homme en mériterait tout un paquet, vu l’intarissable encrier d’où il a puisé la sève de ses militantes planches, vu sa fertilité créatrice et surtout vu sa probité intellectuelle. Les années ont passé, mais l’artiste est resté égal à lui-même : compétent mais modeste, perspicace mais il déteste qu’on fasse de l’art un objet de négoce, battant mais toujours non battu, affable mais non affaibli. L’homme est d’une généreuse combativité. »
Dans un autre article rédigé antérieurement, intitulé « Mehmaz Story », Razak vante le mérite de cet artiste singulier en écrivant :
« Essabane est entré dans l’histoire de la presse marocaine par la grande porte. Lui qui de nature aime faire du bien et se contente de peu .Ce qui l’intéresse ce n’est pas la multiplication des chiffres sur un bulletin de paie mais vivre sa passion intensément »
Il est à rappeler qu’après que le prix a soufflé sa troisième bougie, Razak publia le tome-1 de la monographie s’y afférent pour faire le point sur ses spécificités, sa philosophie et ses objectifs suprêmes. L’ouvrage jette une lumière sur l’oeuvre des trois premiers gagnants. Il en serait ainsi pour les lauréats du présent et du futur. Pictural et bibliophilique, tels sont les traits distinctifs et inédits de ce prix antimatérialiste.
Maniant pinceaux et plume sans intermittence, Razak est l’auteur d’un livre paru au Canada (Au delà de l’Artifex, je dis). Dès sa sortie dans les librairies canadiennes une radio montréalaise lui a consacré trois émissions intitulées « Confidences littéraires ».
Autre bonne nouvelle concernant le blog, online sous URL
http://bouzghiba-awards.blogspot.com .Il a été gratifié au mois de septembre 2009 par un encourageant classement (2ème au TOP-10) réalisé par une société américaine spécialisée (Wholinkstome). La presse nationale ne a fait écho.

Elarbi Sebbane wins fift Bouzghiba-Awards 2009



Press release
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Elarbi Sebbane honoured with
the fift Bouzghiba Prize in Humor
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The Bouzghiba-Award 2009 is given to the Moroccan caricature artist Elarbi Sebbane. This award is being offered for the first time this year to a moroccan artist. This cultural prize was launched in 2005 by Razak the creator of Bouzghiba’s avatar and critic-movie in order to encourage comic performances around the World . For this year the prize should support across its symbolic goal ethic values. Elarbi Sebbane is known as a model of good behavior and for his own creativity. During twenty years of professional caricature he had been considered as a mirror of Moroccan society .The trophee is representing a painting made by Razak. It was given to the winner in the morning of Tuesday 3rd of November 2009.
Sebbane was born in 1948. His first exhibition was presented in 1966. Two years after he started to publish comic drawings in press. He was co-initiator of the arabic alliance of caricature artists headed by the famous Palestinian Naji al Ali. In Tunisia he participated to the great international exhibition dedicated to Human Rights (1984). Dr El Manjra awarded him ex-aequo with Moroccan humorist Ahmed Senoussi alias Bziz. They received a prize of “Tawassoul al Hadari “ (civilization in communicating ).
Razak who supervises this annual event has published a book in Canada (« Au delà de l’Artifex, je dis » Ed. Maxime, Montreal) .
So, after the third edition of Bouzghiba-awards he published a monographic book in order to make a special tribute in presenting the three winners (Patricia Piccinini 2005, French TV-program "C’Est pas Sorcier» 2006 and Theo Jansen 2007). The following winners will be presented in the second part of the monography. Art painting and bibliophilia are the two fundamentals characteristics that distinguish this cultural and anti-materialist prize.
One of the latest good news: In September 2009, the blog Bouzghiba-Awards powered by Blogger was well ranked ( second of TOP-10) by the American start-up in management of Web Ranking: Wholinkstome.




dimanche 1 novembre 2009

Bouzghiba-Awards 2009 :le compte à rebours a commencé

Bouzghiba-Awards 2009 :
le compte à rebours a commencé


Le compte à rebours pour le cinquième Prix International de l’Humour a commencé. Qui va gagner le trophée du Bouzghiba-Awards 2009 ? Vous saurez le verdict très prochainement. Comme d’habitude, il y a bousculade et on a l’embarras du choix. Celui ou celle qui en serait honorée aurait en plus du trophée pictural (thème du tableau inspiré des activités du lauréat lui-même) la possibilité d’être (pourvu que le très maléfique H1H1 ne nous perturbe pas le programme prévisionnel) évoqué dans le tome-2 de la monographie Bouzghiba-Awards au même titre que les trois premiers lauréats. Deux caractéristiques fondamentales distinguent ce prix culturel de tout le reste : la peinture et la bibliographie. Bonne chance aux heureux gagnants du futur.
RAZAK

samedi 31 octobre 2009

B, comme Bouzghiba: calligraphie végétale

B, comme Bouzghiba: calligraphie végétale (écorces du fruit du grenadier ).

mardi 20 octobre 2009

H1N1 imaginé par Razak

Le virus H1N1 imaginé par Razak
(acrylic sur bois 68 x 64)


H1N1 imaginé par Razak

Le virus H1N1 imaginé par Razak

vendredi 16 octobre 2009

Women in Art et Bouzghiba-Awards



La vidéo "Women in Art", que j’avais citée dans l’étude intitulée:«L’épopée de l’Homo Digitalus» est épatante d’ingéniosité. Son auteur aurait glané haut la main un de nos B-Awards. Mais l’énigmatique artiste qui avait créé cette belle œuvre semblait injoignable et fantomatique. L’année où sa vidéo a été mise en partage par YOUTUBE (2007) coïncidait avec la deuxième édition du Prix International de l’Humour (Bouzghiba-Awards) que nous avions lancé en 2005. Nous avions beau chercher dans le réseau des réseaux son véritable nom et son adresse, en vain. Il était pressenti pour un Bouzghiba dignement mérité. Même Oncle Google n’avait pas pu nous dire qui était ce génial créateur qui se cachait derrière un pseudonyme bizarroïde: Eggman916 . Dommage ! Il aurait pu être ex-aequo avec les animateurs du programme-tv « C’Est pas Sorcier » pour le deuxième B-Awards.
Ce n’est que vers la fin de 2008 que cet Eggman913 commence à se dévoiler. Maintenant on connaît sa vraie identité. Il s’appelle Philip Scott Johnson. Grâce aux techniques de design et d’incrustation et puis usant de logiciels de « Morphing », ce joyau informatique et vidéographique est toujours apprécié par les internautes. Au dernier comptage Youtube , "Women in Art" engrange 9671243 de vues sans oublier les milliers de commentaires que ce chef d’œuvre d’art digital a suscités.
Rappelons que le morceau musical d'accompagnement est un extrait de La Sarabande de S. Bach (Suite pour Violoncelle n°1). Il a ajouté à la vidéo un charme tristement beau. Selon certaines informations recueillies à l’aide de moteurs de recherche Web : Les œuvres picturales utilisées pour la création du film "Women in Art" seraient répertoriées par une certaine Boni, instructrice professionnelle au "Fayetteville Technical Community College" sous le thème : "500 ans de portraits féminins dans l'Art Occidental" . Joli travail.
RAZAK


REMERCIEMENTS

Au mois de septembre 2009, le blog Bouzghiba-Awards a été gratifié par un encourageant classement (2ème au TOP-10) réalisé par une société américaine spécialisée (Wholinkstome) et selon un procédé (progiciel of ranking) qui lui est propre. Les journaux marocains où il y a des alpha-bits avertis en ont fait écho. C’est l’occasion de remercier les personnes et les supports suivants: Jamal Hajjam et Benmansour (L’Opinion), Mohamed Kaouti et Mohamed Khalid (Al Bayane), Hakima Khalki (Al Ousboue Assahafi), Souad Raoudi (Al Massae), Abdelaziz (Al Mounâataf), Mohamed Selhami et Noureddine Jouhari (Maroc Hebdo International), Qods Chebaâ (Le Soir), Abderrahim Ariri et Ahmed (Al Watan), sans oublier les deux sites d’info-web: MODHIL et GIORNALE ELECTRONICO MAGHRIBOUNA.
Quand aux analpha-bits, le «Maroc Numeric-2013» avec ses défis pressants leur dit: remuez-vous, il n’y a plus de temps à perdre.
Voici un extrait tiré du tome-1 de la monographie Bouzghiba- Awards. On y esquisse leur profile. Sans rancune, j’espère qu’ils y trouveraient la motivation pour progresser numériquement:

Bouzghiba est «fils» de son temps. Il est internaute, blogueur et blagueur. Il est normal que les usagers de la toile suivent de plus près ses activités. Quand il dit dans une caricature «je hais les analpha-bits», il sait de quoi il parle. Le BIT, connu aussi sous l’anglicisme Binary-digit, correspond à la plus petite unité de donnée traitée par un ordinateur. Par conséquent, un analpha-bit se rédui­rait à un analphabète de l’informatique et de l’Internet. Il y en a de plus contagieux dans le milieu de la commu­nication institutionnelle. Beaucoup de personnes exhi­bent leur E-mail personnel, mais en réalité, elles ne s’en servent pas parce qu’elles ne savent pas s’en servir. Quand vous leur parlez de blog, elles vous disent: «quel bloc». Elles sont bloquées et ne savent pas que dans les sociétés développées et démocratiques, les hommes poli­tiques et les artistes de renom s’adonnent au blogging, malgré leurs programmes chargés. C’est convivial et moins démagogique.
Un monde fabuleux échappe aux analpha-bits. Ceux qui sont à leur premier apprentissage, confondent l’URL avec l’ORL (un terme médical signifiant Oto-Rhino-Laryngologie ou tout simplement «Nez-Gorge-Oreilles »). Leur « arobasque» n’a pas de base. Si le grand mathématicien Al Khawarizmi avait été de notre temps, il aurait dit aux analpha-bits endurcis: «Ne perdez pas de temps, digitalisez vos mœurs, sinon, vous serez toujours à la traîne comme des cancres du développe­ment.»

RAZAK

mardi 13 octobre 2009

Bouzghiba au Télégramme (journal L'Opinion)


NB :Le mot « madrigal » utilisé par Benmansour , le responsable de la rubrique TELEGRAMME de L’Opinion est défini par un lexique du Web comme étant : " Une forme ancienne de musique vocale qui s'est développée au cours de la Renaissance au début de la période Baroque ."

samedi 26 septembre 2009

L'UNESCO ne veut pas de Farouk


Comment de position "favori" le candidat à la présidence de l' UNESCO Farouk Hosni est sorti vaincu de la compétition par la bulgare Irina Bokova? Le vote européen était décisif sans oublier que pour avoir le privilège de diriger cette institution onusienne mieux se garder de faire des déclarations préjudiciables. Avec ses 29 points, et malgré sa candidature controversée , tout le monde prenait Hosni pour gagnant mais voila qu'au dernier round ce poste très convoité lui échappe. Certes cette fin de matche a fait beaucoup de malheureux notamment dans l'entourage du ministre égyptien mais aussi il y'en a ceux qui comme Sonallah Ibrahim sont heureux que Farouk ne soit pas élu. Beaucoup de gens se souviennent que cet écrivain engagé a refusé publiquement le prix du roman du ministère égyptien de la Culture. Il n est pas le seul à jubiler de cet échec tous ceux qui souffrent de harcèlements policiers et de la censure en Egypte éprouvent les mêmes sentiments. Cet échec est une leçon pour les futurs candidats. Pour participer à la compétition il faudrait être au delà de tout soupçon et être issu d'une démocratie sinon on risque de voir le même scénario.
RAZAK

jeudi 24 septembre 2009

جريدة الوطن ومدونة رزاق


Merci Al Bayane

QUAND UN JOURNAL AU PASSE PRESTIGIEUX COMME AL BAYANE VOUS CONSACRE UNE PAGE ENTIERE , CELA DEPASSE LA GENEROSITE JOURNALISTIQUE, C'EST DE L'AFFECTION .
JE NE TROUVE PAS LES MOTS APPROPRIES POUR EXPRIMER LA MIENNE .
JE ME CONTENTERAIS D'UN CHALEUREUX MERCI MULTIPLIE PAR LE NOMBRE TOTAL DES CARACTERES D'IMPRIMERIE CONTENUS DANS CETTE IMMENSE PAGE .

mardi 22 septembre 2009

De belles idées mais sans le pouvoir

De belles idées mais sans le pouvoir

Paraphrasant ceux qui disaient : « Nous n’avons pas de pétrole, mais nous avons des idées » moi aussi et sans paraitre prétentieux je peux dire, non sans regret : « J’ai de belles idées, mais je n’ai pas le pouvoir ». Conséquence de ce petit paradoxe : les projets susceptibles d’apporter une plus-value culturelle et auxquels j’avais pensé sciemment sont restés, dans leur majorité, sans suite. Devrais-je regretter de ne pas avoir adhéré à un parti politique, puisqu’il s’est avéré en dernier lieu, qu’au Maroc tout passe par ce canal sociétal : le bon et le moins bon, l’utile et le futile .
Non ! Je ne regrette rien. Le jeu n’en valait pas la chandelle. J’aurais claqué la porte à la moindre compromission. Certains considèrent la politique comme l’art du possible. Le pragmatisme a appuyé cette décadente théorie. Je proposerais une autre définition pleine d’éthique : la politique, c’est le serment solennel de rester crédible.
Mon art ne me permet pas de jongler avec les principes. Promettre une chose et faire son contraire n’est pas de mon ressort. . D’ailleurs l’art, de façon générale, dialogue par-dessus les clivages partisans, tribaux et confessionnels, avec la postérité et la pérennité. Le politique c’est du conjoncturel et de l’éphémère. En effet, que sont devenus Alexandre le grand, César, Bonaparte, Hitler, Mussolini, Franco, Pinochet, Bush…?

Par contre on éprouve du plaisir à se remémorer les sommités de l’art universel tels que Leonard de Vinci , Picasso, Rembrandt , Hokusai …
Avant de lancer le prix international de humour sous le nom de Bouzghiba-Awards, j’avais proposé un certain nombre de projets aux entités publiques ou privées concernées mais aucun de ces projets n’a pu voir le jour, par manque de répondant, à commencer par le projet artistique : « L’an 2000 musicalement ». Ce projet déposé à la Bibliothèque Générale n’avait reçu aucune réponse favorable malgré les dossiers diffusés. Il y’a eu aussi cette importante plateforme de créativité que j’avais dédiée à la protection de l’enfance et de l’environnement et puis que j’avais présentée, sous le thème : « Rue-Art-1 : Les enfants des rues en état de grâce » à plus de 20 sociétés en vue de la parrainer (projet enregistré) , même constat affligeant, bien qu’un responsable d’une boite semi-publique ayant apprécié l’idée m’ait demandé de remplacer les enfants des rues par la progéniture de ses subordonnés. Le parrainage aurait été assuré, si je n’avais pas refusé.
Après le lancement du prix Bouzghiba, j’avais envoyé un courrier au ministère de l’Enseignement (à l’époque dirigé par Lahbib Malki ) et au Secrétariat de la Jeunesse et des Sports (dirigé par El Gahs) pour inviter les lauréats du 2ème prix à savoir les animateurs du programme-TV : C’Est pas sorcier . Pas de réponse à ce jour. Vient enfin le tour du grand artiste et physicien hollandais Theo Jansen. J’avais écrit un courriel au directeur de l’Ecole Mohammedia des Ingénieurs pour permettre à cet homme de génie de donner une conférence sur ses fameuses sculptures mobiles comme l’ont fait les grandes écoles au Canada et aux USA. Pas de réponse. En visitant son blog
www.strandbeest.com , j’ai appris que les japonais l’ont sollicité pour un cycle de conférences qui s’étend sur plusieurs mois. Enfin, vient le tour du quatrième désigné pour le 4eme B-Award le chinois Zhang Yimou. La venue au Maroc de ce cinéaste qui a supervisé avec maestria la cérémonie d’ouverture des JO de Pékin aurait drainé les medias de toute l’Europe. L’ambassade de Chine a dit OK à condition de trouver une institution pour prendre l’honorable hôte en charge. Alors j’ai dû écrire à deux ministères : celui de la Culture et celui des Sports (le blog en fait étalage) pour parrainer l’événement. Même déception. Ces deux départements qui gaspillent un argent fou dans des futilités, ne se sont même pas donné la peine de répondre à mon courrier, comme s’il n’y avait plus d’encre et de papier.
Dommage ! Les envieux commençaient déjà à s’imaginer un tas de choses en se disant : si Zhang Yimou arrive au Maroc, il sera décoré par le souverain, donc Razak aura toutes chances de devenir ministre de la culture ou de la communication. Drôle de raisonnement. Moi ministre? Et Bouzghiba et son prix qui s’en occuperait ?
Les deux derniers projets et qui ne sont pas des moindres sont en cours d’examen (ONCF et Mairie de Rabat) et j’espère qu’on trouvera cette fois de l’encre et du papier pour me répondre. Il s’agit de: Ferrovi-Art consistant à faire « entrer l’art en gare » c’est à dire aménager un espace approprié au sein des nouveaux locaux pour accueillir des expositions de peinture. L’autre projet qui aurait un impact historique vise la transformation des 15 kiosques à fleurs abandonnés en petites galeries d’art, ce serait l’avènement du Montmartre de Rabat dont rêvent tous les artistes marocains si on disait OK.
RAZAK

Le Soir : interview de Razak

Le Soir: interview de Razak

Dardacha bouzghibienne sur le porotail canadien Shop-Turbo et sur Oukaka.fr




DARDACHA BOUZGHIBIENNE SUR LE PORTAIL CANADIEN SHOP-TURBO ET SUR OUKAKA-FR.

mercredi 16 septembre 2009

Tête nucléaire :oeuvre picturale récente de Razak

"Tête nucléaire", tel est le titre de cette oeuvre picturale réalisée récemment par Razak .
(acrylique sur bois, dim : 68x62)

lundi 14 septembre 2009